JOHNATHAN MARTIN

FOLK / BLUES / ROCK
Pretoria, ZA

Johnathan Martin. Photo credit: Jessica Botha
Johnathan Martin. Photo credit: Jessica Botha

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[EN]  JOHNATHAN MARTIN creates and operates through and in response to music; as a necessity, as a life-source. Johnathan Martin’s relationship with music is reciprocal. His songs are therefore alive in their sincerity, their vulnerability and most of all, their beauty: layers of tones and textures are carved into haunting melodies that, despite the burden they carry, seem to have been composed effortlessly. As such, it is safe to say that Johnathan Martin is one of South Africa’s finest rock vocalists and guitarists, having forged a singular style over the years as guitarist alongside Piet Botha in Jack Hammer, as former frontman of No Quarter and currently playing in his own rock outfit, In My Blood. Within his songwriting you will find references to Neil Young, John Martyn, Alice in Chains, Led Zeppelin, Guns & Roses, as his deep appreciation for these musicians informed his own playing. Perhaps you will also discern an uncanny musician’s curse of unrelenting passion that makes him bow to no one. As such, Johnathan Martin is far too unsung in the South African entertainment industry. But then again, Johnathan Martin, as he once said himself, is not a fly-by-night kind of guy.

He has shared the stage with South African legends like Vusi Mahlasela, The Blues Broers and many others and has also featured on numerous compilations and played sessions since 1995. Johnathan Martin is a musician in a class of his own – his music is haunting and it is clear that music haunts him, compelling him to create.

 — Jannike Bergh


Johnathan Martin (STRAB music festival, Mozambique). Photo credit: Jessica Botha
Johnathan Martin (STRAB music festival, Mozambique). Photo credit: Jessica Botha

[FR] JOHNATHAN MARTIN entretient une relation réciproque avec la musique qu’il compose ; c’est pour lui une nécessité, une quintessence. Ses chansons s’en trouvent irradiées de sincérité, de vulnérabilité et par dessus tout, de beauté. Des mélodies enivrantes qui superposent tonalités et textures et qui, malgré les lourdes émotions qu’elles transportent, donnent l’impression d’avoir été écrites sans le moindre effort. Annoncer JM comme l’un des meilleurs éléments de la scène rock sud-africaine ne présente donc pas vraiment de risque ; il a su se forger un style unique au fur et à mesure des années et des différents rôles qu’il a eu l’occasion d’endosser, de guitariste aux côtés de Piet Botha dans Jack Hammer, et ex-leader de No Quarter, à actuel pilier de sa propre formation In My Blood.

Impossible de passer à côté des influences de JM tant celles-ci son omniprésentes dans ses compositions, de Neil Young et John Martyn à Alice in Chains, en passant par Led Zeppelin et les Guns & Roses ; vous y décèlerez peut être également une pointe de cette passion intransigeante qui l’encourage à exercer ses talents sans aucune concession. JM est en réalité bien trop a l’écart de l’industrie musicale sud-africaine. Mais comme il l’a lui-même déclaré, il n’est pas du genre profiteur. 

Dix ans de voyages à travers toute l’Afrique du Sud lui ont permis, lors des innombrables concerts qu’il a pu donner, de partager la scène avec des légendes telles que Vusi Mahlasela, The Blues Broers et The Black Cat Bones pour ne citer que ceux-là. On le retrouve également sur bon nombre de compilations depuis le début de ses sessions en 1995.

Non content d’être un guitariste dont le style n’appartient qu’à lui, JM est aussi un maître de l’écriture musicale et l’un des chanteurs rock moins connus du grand public, à tort. Si sa musique est envoûtante, il est clair qu’elle l’envoûte lui. La création est pour ce musicien un besoin vital.

– Traduction : Mélody Michut



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